Publication dans le courrier de Mantes

Une visibilité dans la presse locale

En 2021, j’ai eu la chance d’être mis en avant dans un article du Courrier de Mantes, qui racontait mon parcours, de mes débuts dans le Vexin jusqu’à ma reconversion professionnelle. Une belle reconnaissance qui m’a permis de partager ma vision de la photographie animalière.

Une passion née d’un bouleversement

Après le décès de ma mère il y a plusieurs années, j’ai ressenti le besoin de prendre l’air, de m’aérer l’esprit. C’est à ce moment-là que la photographie est entrée dans ma vie. Je suis parti explorer les sentiers du Vexin, sans objectif précis, juste avec l’envie de voir, de comprendre, d’attendre. Et c’est ainsi que j’ai croisé des renards, des chevreuils, des chouettes… Ce monde discret, je ne l’avais jamais vraiment remarqué avant.

Des débuts au cœur de la nature locale

J’ai découvert combien photographier la faune sauvage demande de la patience, de la persévérance et surtout du respect. Je pouvais passer des heures dans les bois, parfois jusqu’à minuit, pour espérer croiser un animal. J’ai mis six mois avant d’apercevoir ma première chouette. Mais au-delà de l’excitation, il y a surtout la conscience de ne pas déranger. Aujourd’hui, je continue à photographier la faune sauvage, mais plus rarement. Cela demande du temps, et je refuse d’y aller sans préparation, juste pour ‘voir quelque chose’.

Une reconversion guidée par la passion

J’ai quitté mon ancien poste de vendeur de pièces automobiles pour me consacrer pleinement à la photo. J’ai suivi une formation intensive (Bachelor photo) à l’école EFET, afin de professionnaliser ma démarche. Depuis, la photographie est devenue mon activité principale.

Des prestations pour les particuliers et les pros

Aujourd’hui, je propose des séances photo pour les animaux de compagnie – et leurs humains – en extérieur, à domicile ou même en studio. Mon approche reste fidèle à mes débuts : ne pas déranger, saisir l’instant, m’adapter à la lumière, au rythme de l’animal et à son bien-être.

Un lien toujours vivant avec la nature

Même si mon activité principale est aujourd’hui centrée sur les animaux de compagnie, je reste profondément attaché à la nature. Il m’arrive encore de retourner, de temps en temps, voir les renards. Pour moi, cela reste un besoin, une manière de me reconnecter à l’essentiel et à ce qui a tout déclenché.

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